Tout est dit dans l'affiche : des créateurs qui proposeront des objets personnalisés, originaux et je serai donc présente avec mes recueils et mon roman. Aidez les auteurs et artistes aubois. Merciii pour votre soutien :!!!

Mes nouveautés, si jamais elles arrivent avant cette date :

http://francoisegrenierdroesch.over-blog.com/2016/05/actualites-publications.html

Et toujours les best-seller : sur ma page Facebook : http://www.facebook.com/Le-piano-maléfique-page-auteur--116958348386776/

Il y aura d'autres dates : le 11 décembre à Bar/sur/Aube

le 14 et 16 décembre à l'Intermarché de St Julien...

Voici le lien d'un blog de lecture où une personne que j'apprécie beaucoup, comme auteure (Hélène DUC) et comme personne, poste des avis sur des romans ou recueils ^^ 

http://ladelyrante.wordpress.com/2016/10/31/le-piano-malefique-de-francoise-grenier-droesch/

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Note :

Synopsis :

Pendant trois jours, une classe de CM2 et ses accompagnateurs ont disparus. D’après leurs dires, ils auraient été enfermés dans le château du Comte de Nerval, où des phénomènes paranormaux ont lieu. De plus, ils auraient été obligés de l’écouter jouer du Chopin au piano pendant des heures. L’inspecteur Herbert enquête sur cette mystérieuse affaire.

Lu dans des circonstances peu propices à l’enthousiasme (un séjour à l’hôpital), ce premier roman de Françoise Grenier Droesch, enseignante à la retraite que je ne connaissais jusqu’à présent que par ses nouvelles,  a pourtant réussi l’exploit de me faire oublier plusieurs heures durant ma situation peu réjouissante et à me changer agréablement les idées.

Il faut dire que l’intrigue proposée par Ce piano maléfique est très accrocheuse, prenante. Les personnages sont bien construits et attachants, notamment le héros principal, l’inspecteur Herbert.  Les lieux traversés sont très bien dépeints à la faveur de descriptions soignées et riches en détails qui m’ont permis de découvrir une région de France que je ne connaissais pas ou sinon que de nom.

Quant aux effets horrifiques et sanglants, ils sont bien dosés. Ni trop ni pas assez. Juste ce qu’il faut pour nous faire frissonner de plaisir !

Par ailleurs, le rythme enlevé sur lequel se déroule l’enquête ajoute encore un charme supplémentaire à ce récit sombre et mystérieux. On ne s’ennuie pas une seconde durant notre lecture tant nous sommes curieux de savoir comment l’histoire va se terminer.

Entrecoupée épisodiquement par les monologues intérieurs du personnage principal, Herbert,  (habile procédé utilisé par l’auteure qui nous permet de mieux le découvrir et de nous y attacher) l’intrigue progresse d’une manière logique et nous tient en haleine jusqu’au dénouement. Une fin satisfaisante qui ne nous laisse pas sur notre faim !

Comme tout premier roman qui se respecte, on notera, certes, ici et là quelques petites maladresses dues à l’inexpérience. Notamment au niveau des dialogues parfois un peu vite expédiés ou confus (on ne comprend pas toujours qui s’exprime ou qui parle à qui).

De légers défauts qui, à mes yeux, ne gâchent en rien le plaisir ressenti à la lecture de ce bon roman que je vous conseille de découvrir. Sous cette belle couverture, à la fois sobre et élégante, orné d’un joli titre intriguant, vous attend une histoire fantastique divertissante à souhait.

Mais… chut ! Écoutez ! Entendez-vous Le Piano Maléfique vous jouer sa petite musique envoûtante ? Alors, qu’attendez-vous ? Laissez-vous tenter !

De petites indiscrétions m’ont laissé entendre que Françoise Grenier Droesch songeait à donner une suite à ce premier opus très plaisant. Vivement ! "

Lien d'achat (FNAC qui est le moins cher car possibilité de le récupérer sans frais de port dans l'un de leur magasin = 20,80 €) : http://livre.fnac.com/a6864675/Francoise-Grenier-Droesch-Le-piano-malefique

Sinon, on peut me contacter (j'en ai encore chez moi à dédicacer) sur ma page Facebook : http://www.facebook.com/Le-piano-maléfique-page-auteur--116958348386776/ 

  Une autre publication disponible d'une de mes nouvelles ("Mère") et 16 autres auteurs à découvrir pour 0,89 €

« Jeff Superstar », de Charlie Bregman. Humains trop humains... Un peu d'amour, et la désolation. Nouvelle extraite de « La Revie Joyeuse n°2 - Déblocages ».
« Andar, village de pêcheurs sur Gahila, année 2793 », d’Elisabeth Charier. Quand l’intolérance engendre la haine.
« De carrosse en citrouille », de Roland Collignon. L’avenir d’un orphelin dépend parfois de petits fonctionnaires qui n’ont jamais connu les privations, l’isolement. La vie de ces gens est une affaire qui roule. Ils n’ont aucun retard à rattraper ni le besoin de s’inventer une histoire.
« Les saints coquins » ou « Ephéméride libertin », de Danay, présente, en vers, un dicton polisson du prénom du jour. Plus de 400 saints y sont répertoriés, du plus usité au plus rare.
« Mère », de Françoise Grenier Droesh. Il n'y a plus de Terre mais un nouveau monde que Gaïa ou une entité semblable a façonné et peuplé d'Animées. Découvrez le travail et les rêves de l'une d'elle ainsi que la révolte qui s'engouffre.
« Le moineau », de Marie Fontaine. Fragments de tendresse de deux vieilles dames confrontées au problème de la fin de vie.
« Traversée », de Catherine Lang. Traverser les murs, les frontières, les villes, les bruits, le silence, la peur, le passé. En poème, en prose, en mots.
« LOU », de Lydie Lefevre. Quand le passé vous rattrape, tout peut arriver, même l'invraisemblable.
« Fringues, soupe et Cie », de Pascale Madeleine. Las de rencontrer des personnes Sans- Abri, nous sommes une poignée à nous rejoindre pour une première maraude, le collectif naissait... Ce livre est le témoin de quatre mois de maraudes.
« Le goût de l'orange », de Laurence Marino. Les odeurs d’enfance de Nejma nous emmènent du Maroc à la France dans ce combat pour être elle même.
« Le sabre de Bès », de Christelle Morize. Un tueur en série crapuleux et méthodique. Ce devait être une enquête banale, mais l'étrange et l'irrationnel prend vite le dessus. Malédiction et dieux égyptiens au cœur d'une lointaine vengeance.
« La maison du lotus embaumé », d'Alex Nicol. Cette maison avait la réputation d'être la plus raffinée du Japon. Mais elle subissait un lourd handicap: elle avait été construite sur le territoire de Fukushima...
« Les Feux follets » (les Égarés 2) de Françoise Nore. Avoir rêvé de vengeance et y renoncer, en un huis-clos peint aux couleurs d'anciennes passions ravivées.
« Braquage en Bretagne-sud », de Mickaël Paitel. La force d'un individu réside dans son pourvoir de provoquer des choses qui peuvent lui échapper totalement.
« Un américain à Paris », par Plume Ellagi. Le mystère du vol d'un livre ancien dans la bibliothèque habituellement tranquille d'une petite ville de France.
« A l'horizon », de Claire Roig, poèmes sur le thème de l'amour. L'amour dans son acception la plus large: la nature, l'amitié, la sensualité.
« Le marron et l’orchidée, par Patrice SALSA (extrait du recueil Le prix à payer) ». Deux fois quatre récits, qui peuvent se lire indépendamment, mais qui forment aussi un tout, une progression, un portrait, peut-être. Celui d’un homme qui, de texte en texte, n’est jamais tout à fait le même, ni vraiment complètement un autre.

sur les plateformes comme Amazon...

Ici :

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