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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 20:42

Du nouveau ! 200 pages noir et blanc en tout avec 17 nouvelles d'auteurs sans chichi (  Jess Kaan, Eric Fesquet, Didier Fédou, Michel Gadeyne, Alexandre Pinelli, Zaroff, Henri Bé )., de belles illustrations par E. Sanchez, V. Sauvion, Madgad... et des entretiens ( Autoreverse, EDFX ) .

RECUEIL DE NOUVELLES FANTASTIQUES ET HORRIFIQUES :

De-l-ecritoite-908607Nzine2.jpgSi vous Voulez en savoir Plus ( Prix des Précommandes : 13 € ( Frais de port offert ) jusqu'au 30 septembre puis 15 € + Frais de port) ......................................Cliquez dans l'image, vous aurez le modèle du bon de commande à recopier ou imprimer.

Lien facebook : N'ZINE 2         N'ZINE 2

Très bonne lecture les amis !!!!!


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27 juin 2012 3 27 /06 /juin /2012 21:49

En surfant sur le net ... on fait des découvertes et voilà que j'apparais dans ce classement ! Pour une surprise, c'est une sacrée surprise. Pas de quoi, non plus affoler les foules ni remplir mon compte en banque !

Voilà, je suis 722/1258 ! Eh, pas si mal ! J'aurai pu être dernière, quoi !

Je vous livre le lien où vous pourrez lire pas moins de 1258 nouvelles ( elles sont courtes vu que le nombre de signes étaient de 2011 signes ).

Enfin, vous faites ce que vous voulez !

 

Une terrible beauté est née, c'est par ici : link

 

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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 15:18

exhibition

JUSQU'AU 3 JUIN 2012 au QUAI BRANLY

Voilà une expo qui me parle dans le sens où mon père est allé au Congo Français après la guerre de 39/40 pour accompagner son beau-frère ( Clergeot) et les résistants du commandant DUPONT, fondateur et améliorateur d'AUBEVILLE. Il avait 20 ans et y est resté 15 ans à peu près. Il était colon, voulait faire fortune en semant du riz, en récoltant des produits comme des cacahuètes, bananes ..., et en les vendant sur les marchés extérieurs, à Brazzaville ...(accessoirement en embauchant les "Noirs", placés sous son autorité ).

AUBEVILLE était une coopérative, gérée par tous les volontaires de cet incroyable défi. Eh oui, il leur aura fallu des heures et des jours ( voir années) pour venir à bout de la nature inhospitalière de cette partie sauvage du Congo ( vallée du Niari, à l'état de friche ). Mon père, André DROESCH, ne se lassait pas de nous  conter les péripéties de son long séjour là-bas, riches et surprenantes.

Déjà, je suis née à Pointe-Noire, à côté de Brazzaville, le 29 juin 1955 et quelques jours avant ma naissance, ce fut l'expédition. Papa a conduit le camion jeep à travers la forêt, sur des routes de terres ou rien du tout !  pendant 300 km. Je suis née, entourée de danger  mais aussi d'amour : je venais après mon frère décédé ( fausse couche à cause de la quinine ! ) et mes parents m'ont choyé, étant l'aînée aujourd'hui d'une fatrie de 4 enfants ! Seule à être "créole", seule à avoir pour compagnon, un énorme chien de garde ( car il y avait des animaux, un troupeau de moutons, chèvres, porcs, vaches ... des poules ...), seule à être gardée par des " Boys" = des jeunes noirs qui jouaient aux bonnes à tout faire mais qui aussi apprenaient le Français et amélioraient leurs connaissances de l'Europe pour ensuite partir étudier en France.

Avant cela , ce fut un acharnement d'hommes pour attaquer la brousse, assainir le terrain, construire les cases et équipements collectifs ( c'était une communauté d'avant mai 68 ! ), la scierie, l'exploitataion forestière, les menuiseries, le four à chaux, des cultures maraîchères + arachide, riz, soja ...

Mais, dans le discours de mon père on sentait du mépris pour cette race noire : leur coutume comme se réunir et invoquer les esprits, ne pas accepter les soins du médecin français mais préférer ceux du " Chamane", plonger les nouveaux-nés noirs dans la rivière glaciale et ne garder que les survivantes de ce bain forcé, tout, ainsi que leur soit disante paresse ( ils ne voulaient pas travailler, pas décorer leur propre case ... lui posait problème.

Cette expo semble mettre en relation une époque charnière ( la découverte et l'exploitation de l'homme Blanc des Terres d'Afrique ou d'autres continents préservés jusque là ) et la naissance du racisme, en tous cas de l'idée d'un être sauvage,  forcément différent de nous, bon occidental.

A VOIR et méditer ... la suite, peut-être mes premiers pas en Afrique ... et les histoires de mon père. 

Exhibitions-l-invention-du-sauvage001.jpg

Si quelqu'un connaît Aubeville, cette période, je serai enchantée d'être contactée. 


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1 janvier 2012 7 01 /01 /janvier /2012 21:45

Pendant l'été 2011, un concours pour être publié dans un fanzine avait été lancé par le site Belisamart ( date limite le 15 octobre ). J'ai donc participé et n'ai pas été retenue ! Normal ! 

Lisez, les nouvelles qui sont parues dans ce numéro 1 et vous comprendrez que le niveau  à atteindre est élevé ! 

Voici les lauréats :

Bienvenue au Ciel d'Ursula DUBOIS

Le Bracelet de Frédéric LIVYNS

Cauchemar  d'Adeline NEETESONNE ( je l'ai lu et aimé )

Le Cap des Alouettes de Pierre DUVAL

L'incantation des Chimères de Blanche SAINT-ROCH

Dernier Voeu de Sylvain BOÏDO

Petits Meurtres entre Mages d'Alexandre CHAMPION

Le rêve des Artistes d'Audrey RAMIRO (lu et adoré )

V Comme de Martine Philippe

Le Clou du Spectacle de ??? Nathy ???

Je vous encourage à lire et admirer le travail des illustrateurs également. 

Ma nouvelle avait pour titre "Singeries" et je la mettrai un de ces jours.

Belisamart : link

 

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 18:20

Je vous recopie la nouvelle de la troisième lauréate : celle de  Marie-José PIQUET

 

J'ai vraiment trouvé l'idée intéressante

 

En cet fin de banquet, les convives, somnolents et euphoriques, étaient affalés sur des lits autour de la table. Les reliefs du repas, la vaisselle, les amphores cassées gisaient un peu partout. La chaleur étouffante, inhabituelle en cette saison, écrasait la vile, assombrie en plein milieu de l'après-midi.

Le jeune couple se faufila hors du triclinium et courut vers les jardins, à l'abri des regards.

"Fais-moi des gouzis", gazouilla la gracile Graziela, grisée. Ils s'allongèrent délicatement sur l'herbe et se mirent à se mirer, s'admirer, se découvrir, s'explorer. Sous les papouilles appuyées du pimpant Pompéien, la poupée un peu pompette papillonnait des paupières, se pâmait et soupirait de plaisir sous les pins parasols. Ils se mêlèrent, s'entremêlèrent, inventèrent mille caresses au point que le dieu kama s'outra. Ils vibrèrent lentement au rythme des premières secousses telluriques, puis plus rapidement, à l'unisson avec la terre. Ils atteignirent l'extase pile-poil au moment de l'éruption. Alors que la belle murmurait à l'oreille de son amant " Luigi ! Oh ! Oui !", la bave épaisse du Vésuve commençait à s'étendre doucement sur leurs corps puis les recouvrit entièrement jusqu'à les laisser empêtrés, empétrifiés, ad mortem aeternam.

Vingt siècles plus tard, le bel Antonio, conducteur d'engin de chantier, affecté aux travaux de l'autoroute Sarno-Napoli, sifflotait aux manettes de sa tractopelle-excavatrice-niveleuse-décapeuse. Mais ce qu'il aperçut au creux de sa pelle lui coupa le sifflet : deux têtes et  des pieds émergeaient du tas de terre. Il descendit de son engin, appela les copains qui l'aidèrent à  dégager délicatement la chose. Apparut alors ce qui semblait être une magnifique sculpture d'un réalisme qui les submergea d'émotion : deux êtres, solidifiés et solidaires, figés dans une étreinte éternelle, terrible beauté ( occis, morts ).

On peut les voir aujourd'hui sur la petite place de Cuccurullo près de Pompéi ,enlacés pour toujours sous les pins parasols.

 

Auteur : Marie-José Piquet, 80, avenue Ledru-Rollin 75012 PARIS

mjopiquaflor@gmail.com


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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 19:58

Je vais avoir l'immense honneur de participer à ce salon entièrement consacré à l'imaginaire : si vous voulez avoir une idée de la volonté des organisateurs de ce premier salon, voici un lien

 

 

link

 

Les éditions VAL SOMBRE,      link    et la CONFRERIE DE L'IMAGINAIRE    link       sont aux commandes !

 

 

MON ROMAN : LE PIANO MALEFIQUE et MOI-MÊME vous attendrons pour une séance de dédicace dans une ambiance de rêves

 

Il y aura de nombreux auteurs, éditeurs, illustrateurs, bien sûr, voici un autre lien vers le programme    link

 

Bien sûr, il vous faudra aller jusque dans le NORD (59), affronter peut-être le froid, mais dites-vous que vous ne le regretterez pas

 

Editeurs, auteurs, illustrateurs et amateurs de fantastique, science-fiction, fantasy se croiseront sur la station pour un salon du livre entièrement consacré à l'Imaginaire! Venez y chercher dédicaces et révélations...

 

Du beau monde : Adrien Party pour une conférence sur les VAMPIRES

Cécile Guillot nous entrainera vers les figures de SORCIERES ...

Je vous en reparlerai dans un prochain article après le SALON et je ferai des photos, promis !

 

 

 

http://www.valjoly.com/valjolymaginaire ( encore un lien si les autres ne fonctionnent pas

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22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 10:55

Il y a déjà quelques mois paraissait cet article, signé par Rodolphe Laurent , pour la rubrique " Plein Cadre" dans notre journal local :

http://www.lest-eclair.fr/index.php/cms/13/article/507397/?Copix=7c37b37c7735b5193fa36b9d8d24626d link

 

Il y a des Aubois qui peignent, qui barbouillent des toiles. D'autres chantent et sortent des CD. D'autres enfin noircissent du papier, écrivent des livres. Peu importe le support : l'important, c'est de faire passer « quelque chose », des sentiments, des impressions, des rêves. Dans le cas de Françoise Grenier (Droesch étant son nom de jeune fille, qu'elle a réutilisé pour signer son livre, NDLR), qui a publié un premier roman fantastique l'automne dernier, il s'agirait plutôt de cauchemars. Des cauchemars récurrents qui hantent ses nuits. « Depuis des années, au réveil, je les note sur des bouts de papier », confie cette enseignante qui habite Troyes. « Certains sont tenaces. Je devais les (d)écrire pour m'en libérer. L'écriture me permet de me vider le cerveau dans l'imaginaire. » Un effet cathartique voire « thérapeutique » que la gravure, qu'elle pratique depuis son passage aux Beaux-arts de Reims, ne lui a pas permis d'atteindre.

Sa méthode d'écriture est tout aussi surprenante. « C'est comme si je déroulais une pelote », raconte-t-elle. Nul canevas, donc. Les personnages apparaissent comme ça. Françoise Grenier réorganise le tout ensuite. « Je ne cherche pas à faire de la littérature - mon écriture est toute simple. Je ne suis pas un auteur et faire des livres n'est pas un but : c'est une obligation », insiste-t-elle.

 



Un vampire venu du Briennois

 



Dans Le piano maléfique, roman forcément assez difficile à résumer, il est question d'une sorte de vampire, le comte de Nerval, qui absorbe l'énergie vitale des humains (un vilain dans la lignée du Joker de Batman, selon l'auteur). C'est dans son fief, les Terres Rouges, situé dans la région de Brienne-le-Château, que se retrouve un groupe d'élèves de CM2 dont l'autocar est tombé en carafe. Plus tard, lorsqu'on les signale, ils ne sont plus que l'ombre d'eux-mêmes, vieillis et décharnés. Pour l'inspecteur Herbert Léonidas, c'est là le point de départ d'une enquête aux frontières du possible.

Des idées, Françoise Grenier, qui avoue apprécier Edgar Allan Poe, H.P. Lovecraf et Stephen King, des maîtres de l'horreur parmi les plus fameux, n'en manque pas. Les Ombres qui parcourent les 250 pages de ce roman sont effrayantes à souhait.

Le passage - entre autres - où Léonidas est emporté par un aigle au-dessus d'un cratère d'où s'écoulent des flots de sang est joliment imaginé. Normal, il vient du plus profond de la nuit, de cette nuit où naissent les cauchemars, sombres, terribles…

Globalement, l'intrigue, semi-policière, est bien menée et le style agréable à lire (nulle maladresse à signaler). Des monologues du vampire, qui s'adresse aux lecteurs, ponctuent habilement le récit. Les longues descriptions, de paysages ou de personnages, ce n'est pas le truc de Françoise Grenier : elle préfère faire ressentir « des sensations ».

« Il fallait que ça sorte, d'urgence ! », redit-elle. « Après, ça allait mieux. »

Mais, déjà, elle a un autre bouquin sur le feu - dans la même veine. Toujours ces pelotes à dérouler…



- « Le piano maléfique » de Françoise Grenier Droesch, éd. Le Manuscrit - 244 pages - 17,90 €.

 

Rodolphe LAURENT

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Présentation

  • : Le blog de francoisegrenierdroesch auteur fantastique
  • : Je mettrai mes essais littéraires, mes coups de coeur, des liens vers mon roman fantastique " LE PIANO MALÉFIQUE " car je me suis découvert une passion pour l'écriture alors que jusque là, je dessinais et gravais. Mais, je suis enseignante et donc, j'ai peu de temps à consacrer à ce blog, ne m'en voulez pas d'être parfois longtemps absente ! Du Cauchemar au rêve, il n'y a qu'un livre ! ( La Confrérie de l'imaginaire )
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  • D'abord, j'ai toujours dessiné,( mon père étant peintre d'aquarelles superbes sur le vieux Troyes et œuvrant pour les Bâtiments de France comme adjoint d'architecte, j'ai hérité de son don pour le dessin ).Des rêves/cauchemars traînent dans
  • D'abord, j'ai toujours dessiné,( mon père étant peintre d'aquarelles superbes sur le vieux Troyes et œuvrant pour les Bâtiments de France comme adjoint d'architecte, j'ai hérité de son don pour le dessin ).Des rêves/cauchemars traînent dans

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